Un curé converti à l’athéisme me ferait penser par analogie à un syndicaliste converti au libéralisme...Un syndicaliste qui ferait mine de défendre la classe ouvrière le jour, mais qui écrirait des mémoires la nuit pour y expliquer que les prolétaires sont des bons à rien (des assistés), que le salut ne peut venir que de l’initiative privée et qu’il convient donc de baisser les impôts des riches, que la baisse des salaires est le seul moyen de préserver la compétitivité, etc.
Je suis plein de tristesse pour lui.