chavez change les règles du jeu pour mieux asseoir son emprise clanique sur le vénézuéla en bon populiste qu’il est. C’est la mafia qui tient le pouvoir à caracas.
Selon le journal El Nuevo Huerald reprenant l’avis d’analystes[Qui ?], « aucun [précédent président] ne lui arrive à la cheville en matière de népotisme dans toute l’histoire du Venezuela[121] ». Deux douzaines de personnes de la famille Chávez occupent des postes politiques d’envergure régionale ou nationale. Le journal rapporte également que la présidente du parlement a autorisé la nomination à des postes législatifs de 40 parents ou amis.
etc etc etc...