Abou Antoun Abou Antoun 8 octobre 2012 20:03

Dans la logique commerçante un livre, un album musical, est avant tout un produit. Il doit donc être formaté comme un film, une série télévisée pour plaire au public. Des études très sérieuses de marketing sur ce que les gens aiment (leur goût est partiellement formaté aussi) existent. Tout produit ne répondant pas aux critères retenus sont soient refusés soient modifiés si l’éditeur trouve qu’on peut en tirer quelque chose.
C’est ainsi que nous sommes inondés de littérature du genre Anna Gavalda, une vraie m... imprimée mais qui se vend bien.
Les ouvrages novateurs, intéressants n’ont guère de chance d’être publié par les pieuvres de l’édition.
Extrait de cette page web
Cette évolution se retrouve dans tous les pays développés et l’édition française n’y échappe pas et présente même une concentration éditoriale qui dépasse celle des autres grands pays : Hachette-Lagardère et Editis contrôlent à eux seuls environ la moitié du marché du livre en France.


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