Moi qui suit à priori plutôt indifférent à ce question du mariage homo, considérant qu’en l’espèce le mariage aurait du rester une institution privée (mais comment résister à la tentation de mettre la main sur les registres), je trouve que vous faites une exploration très juste de ce « qui ne se voit pas ».
Légiférer d’une main tremblante, on a déjà oublié.