joletaxi 27 octobre 2012 12:10

Nous, salaries, réclamons notre salaire complet et la liberté d’en disposer.

c’était le propos de ce prof d’économie gantois.qui proposait une véritable révolution fiscale.

selon lui, on devait payer aux salariés et autres cotisants actuels, des salaires nets, sans aucune charge.
Du jour au lendemain, toutes les entreprises qui sont au bord, sinon en faillite retrouvent une bonne santé.
D’un autre côté, le salarié lui, voit son salaire augmenter dans des proportions inespérées.
Autre aspect positif, l’incroyable usine à gaz administrative et son cortège de règles absconses et qui sont un frein à l’embauche disparaît également.
Qui plus est, si dans la situation actuelle, le niveau de prélèvement est tel que le travail « au noir » est rentable, il n’en est plus de même cette fois.
Mais d’où viendra alors la manne qui va financer la sécu, les pensions, le chomage ?
Par une adaptation de la fiscalité avec des barêmes très progressifs pour les particuliers, qui, à partir d’une certain niveau de revenus n’incite plus à « travailler plus pour gagner plus » avec cette différence que chacun est libre de s’adapter à sa convenance
Pour les entreprises, un barême d’impôts qui s’adapte en fonction du rapport entre la masse salariale et le chiffre généré, avec comme arrière pensée de pénaliser le recours à l’importation.
Dans ce système, tout le monde a droit aux mêmes prestations sociales, mais dans la proposition, celles-ci restaient fonction du niveau de revenus.
La pension était une fois pour toute fixée au même niveau pour tout le monde, carrière ou pas,et au même âge, ici 65 ans.

Bien entendu, tout le monde a salué le bel ouvrage, les syndicats ont refusé de lire, et on en a plus parlée, sauf dernièrement, car on finit par découvrir que notre systême ne peut que finir en catastrophe.
Je crains fort que ce soit un peu tard.


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