C BARRATIER C BARRATIER 28 novembre 2012 18:50

Quand on a fait des études longues sur un sujet qui passionne, on a déjà vécu 10 an,s de bonheur et on a survécu ! On a profité du travail plus ingrat de maçons, plongeurs, maneuvres en paquets et sacs très lourds à charger et décharger qui par la richesse produite par eux permettent aux services publics de fonctionner.
Surtout on est équipé en capacité de réflexion, d’expression, on a ses bras et ses jambes, et le fait d’apprendre des choses tout autant difficiles : cuisine, pose de carrelages, plomberie, vente, comptabilité....peut être un autre bonheur.
Les étudiants croient souvent qu’il leur soit dû de devenir professeurs, ce n’est pas le cas, et quelle que soit la profondeur et la richesse de leurs études, ils n’en sont pas forcément capables.
qiqls le savent d’eilleurs tous en entrant à l’université car ils sont assez intelliogents pour capter tout ce que tout le monde capte...
Une vie, c’est long, et de plus en plus on réussit à trouver son bonheur et à être utile à la société dans un domaine qu’on n’avait pas envisagé. C’est le cas pour un littéraire qui a je pense un bel avenir, d’autant plus beau qu’il inventera une production nouvelle qui s’exportera. Ce qui est terminé, c’est de vivre de la reproduction (enseigner ce qu’on nous a enseigné). Une piste : on a besoin en France que les diplômés et non diplômés soient capables d’acquérir enfin une orthographe et un style impeccables. La méthode, les outils pour le faire seront ils le fait d’un ingénieur, d’un resturateur ou d’un littéraire de haut niveau ? Aujourd’hui on vous donne de moins en moins votre travail....il faut souvent le créer.

J’avais cette réflexion et je la mettais en pratique dans le lycée que je dirigeais, certes tout a changé, mais voici quand même le lien ,l’article est à découvrir en table alphabétique des news, ici :

Pédagogie et méthodes actives, le lycée de demain ? http://chessy2008.free.fr/news/news.php?id=198

A l’auteur donc, courage, foncez en subsistant avec ce que vous trouverez, vous avez déjà beaucoup reçu, je ne crois pas que la société vous laissera tomber si vous entrez dans le monde dans lequel nous vivons avec la farouche volonté d’y faire votre place. Vous verrez, on grimpe vite !






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