Joelim : ce « nous » qui arme les mercenaires, ce n’est pas « nous » ici ! Nous sommes nombreux à vouloir agir pour changer les choses ; on est tous d’accord pour le « pourquoi », on n’est pas tous d’accord sur le « comment ». Mon idée est qu’il faut se nourrir les uns les autres et reculer pour le plus tard possible le moment où " on se foutra sur la gueule’. Il n’y a pas de raisons ! ça s’est toujours passé ainsi. Si on a un peu de temps devant nous, il faut l’utiliser à réfléchir : il y a tant de paramètres... je dis ça autant pour moi, soyez-en sûr !