eric 5 janvier 2013 14:37

Il est tombe par terre, c’est la faute a Voltaire ! Le nez dans le ruisseau, c’est la faute à ...Diderot

La question n’est pas, qui sont les gentils riches et les méchants pauvres, mais peut on faire des politiques un tant soit peu cohérentes quand on a une pensée incohérente. Les propos de Cambadelis établissent juste que la motivation de certaines gauches a stigmatiser certains type de migration économiques et d’autres pas, repose sur des intérêts qui leur sont propres et pas sur des argument moraux.
Une grande inculture historique, philosophique, économique, ne contribuant pas a leur éclaircir les idées.
Quand on ne voit pas la différence entre une Catherine et un Poutine, il et normal qu’on soit enclin a comparer un Sarkozy et un Louis XVI et a mal distinguer des solutions qui se sont révélés inefficaces au 19eme siècle et les enjeux du 21 eme.

Quand des pointures politiques communient avec des journalistes dans la célébrations des exils de Voltaire en Russie, on ne peut s’empêcher de conclure que la priorité nationale serait d’aligner l’école publique sur les critères de qualité de l’enseignement libre.


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