Gabriel Gabriel 23 janvier 2013 10:11

Je viens d’apercevoir le lapin traversant la route de votre paysage. Qu’il est agréable de lire les délires poétiques d’une si belle plume. Les œufs montés en neige, le blanc cas’ sur le comptoir refaisons le monde à votre manière, sur un air de pipeau, à la Lewis Caroll. 


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