PASDUPE 7 février 2013 10:58

Le problème, c’est la mise en place déjà forte avancée du NOM et son avénement possible ?

Nous sommes d’accord sur le fait (il me semble) que l’UE représente sa terre de prédilection, que l’aboutissement souhaité pour cette fausse entité qu’il essaie de nous vendre comme souhaitabe, incontournable, est le fédéralisme ; c’est à dire la fin de nos nations. Que l’Union Européenne peut donc être vue comme le pré-requis, les fondations du Monstre ?

Que si il arrive à ses fin avec l’Europe, il aura déjà opéré un grand pas en avant. Un énorme marché unique à la langue unique (à ce propos avez-vous remarqué l’invasion de pubs sur le net formulées qu’en anglais ?) doublé d’un glacis géo-politque et militaire robuste. Que la pieuvre aura alors bien étendue ses tentacules et qu’il lui sera alors plus facile de mener à bien d’autres conquêtes avec le recours à des guerres d’empire (n’est-ce pas déjà le cas) ?

Alors, la question ne serait-ce pas : Puisque l’avénement du fédéralisme européen semble être une condition incontournable pour le marché unique transatlantique tant voulu par le NOM (usraélien), mettre en échec cet objectif constituerait un revers de taille qui pourrait tout remettre en question ?

Je me dis donc que l’édifice peut avoir des bases plus fragiles qu’il n’y paraît. Que leur projet peut fort bien basculer.

Que faut-il pour ça ? Mettre en échec le fédéralisme. Comment, puisqu’on ne nous demandera pas notre avis ?

Que la France, avec un mouvement politique comme l"UPR avec des alliances, constitue un nouveau Conseil national de résistance, comme il le propose, afin que notre pays, pour retrouver toute son indépendance (la seule chose qui importe à mes yeux, car D’ELLE dépend tout le reste), sorte de l’UE en toute légalité en faisant valoir l’article 50 du traité.

La France sortie de l’Union, l’Union ne s’en remettra pas. Elle appartiendra alors au domaine du passé. Paix à son manque d’âme.

La voilà La voie praticable. Il suffit de l’emprunter. Les rangs commencent à grossir d’ailleurs.

Je ne fais pas de prosélytisme. Je vous informe qu’il y a une voie. Je réponds à votre question/doute.

Moi, je la suis. Mais on peut aussi continuer à se questionner. Mais ne croyez-vous pas que l’heure soit à l’action ?


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