La vodka, c’était leur carburant et leur analgésique...
On a un autre témoignage de première main« Bal au Kremlin » de Malaparte qui complète pas mal...
EN tout cas, Djilas était un communiste et un honnête homme... on voit où ça l’a conduit.
PS : j’aime moyennement ses nouvelles de « L’exécution »...trop cruelles, mais sûrement vraies.