wesson wesson 15 février 2013 15:43

Bonjour l’auteur, 


Ok, je comprends que vous souhaitiez défendre une ancienne gloire du Rugby, et que les 360 employés du groupe Spanghero n’ont même pas besoin que on leur fasse un chantage pour défendre leur bifteck .. de cheval.

Mais dans le cas d’espèce, je comprends et approuve parfaitement la réaction du gouvernement. Si l’enquête a mis en cause cet opérateur, il se doit d’être sanctionné à titre conservatoire, point barre. 

De toute manière, même si il est probable que l’entreprise y passe, le besoin reste bien là. Une reprise d’activité sous un autre nom et avec d’autres dirigeants sera à même de sauver les emplois.

Pour Spanghero et les propriétaires actuels de ce groupe, je me déclare sec de compassion. Si on bâti son empire sur du sable, il ne faut pas s’étonner que un jour, on se le retrouve effondré.

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