Je rêverais d’aller, le 25 avril à Lisboa ! Je ne pourrai le faire et même, qu’y ferais-je ?
L’impuissance de la solitude est là, toute entière ; après, on ne se change pas ; les oreilles et le coeur ouverts jusqu’au bout ! Retrouver l’âme d’un peuple : il y a beaucoup d’endroits au monde où c’est fini ! mais ce peuple, à la fois latin et amérindien, qui m’est cher par sa culture, par sa langue, n’est pas mien ; il faudrait que je m’y incruste ; c’est un rêve, ici, je suis sédentaire avec trop de belles âmes animales en responsabilité ! Mais qui sait ?