Superbe ton texte, alinéa. A bordeaux, Melenchon a entonné cet air et les bordelais sont entrés dans la salle , des œillets à la main, c’était poignant , j’avais les larmes aux yeux.
Tant de courage d’un côté, tant de lâcheté de l’autre... De mollesse. Mais quand vont-ils comprendre ?