La seule constante forte des 14 ans de Miterrandisme, c’est l’Europe. Il avait une vraie conviction qu’avec l’UE les choses iraient mieux.
Elles ne vont pas mieux.
Cela a été dit au PS en 2002 et en 2005. Il a peut-être entendu, mais soit il n’a rien d’autre à proposer, soit il n’a pas envie. Soit encore il pense qu’il a de meilleures chances d’être élu s’il n’ouvre pas le débat.