taktak 12 avril 2013 15:14

Les réorganisations permanentes, l’éclatement des effectifs en une multitude de petits services favorisent tout à la fois le replis individuel et la désyndicalisation et aussi le comportement de harcèlement par des petits chefs devant porter une politique inepte sous la pression de la haute administration.

Sous la pression de syndicats, le MEDDE a du s’intéresser aux risques psychosociaux. Sans rien de concret pour le moment. On aurait pu s’attendre, qu’à défaut de changement, un gouvernement de gauche stoppe la valse des régorganisations/suppressions de services et missions. Dans les faits, c’est exactement pareil que sous Sarko (Borloo et NKM).


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