salut grand montagnais et in bruges
avec cette crise et les banquiers qui nous étrillent
et les coquins qui nous pompent tout, ces joyeux drilles
bientôt ne nous restera que nos pauvres vits
pour survivre à la mauvaise saison
encore heureux si la gueuse et ses fermiers généraux
n’ont pas l’idée de taxer pas la bandaison