mac 24 mai 2013 10:04

L’anglais a déjà envahi toute la bureaucratie européenne , on ne sait pourquoi puisque la GB n’est même pas dans la zone Euro ni dans l’espace Schengen (elle est un peu européenne quand ça l’arrange ?) et que le français est plus utilisé comme langue maternelle que ne l’est l’anglais au sein même de l’Europe.
Si vous laissez l’anglais pénétrer dans nos universités, il s’incrustera comme langue dominatrice et on ne saura bientôt plus dans nos universités que curl se dit rotationnel en français. D’ailleurs pourquoi emploie-t-on le mot master dans nos universités ? Personne ne semble se poser la question...

Au Canada francophone où ils ont encore plus que nous affaire à l’hégémonie de la langue anglaise, il passent des lois contre l’affichage en anglais (loi 101 au Québec si je ne m’abuse) et certaines universités francophones dans des provinces où le français est minoritaire se refusent à intégrer l’anglais dans le majorité des cours, ce qui contraint les anglophones à aller parfois étudier à 200 km de chez eux. Ce n’est évidemment pas au goût de ces derniers.
C’est le cas notamment de l’Université de Moncton au Nouveau Brunswick qui pour l’instant continue à résister, contrairement parfois à nous.

Il faut dire que chez-nous, combien de journalistes ou « d’intellectuels » sont heureux de nous montrer qu’ils parlent l’ anglais dans les médias, même si c’est parfois comme des vaches espagnoles...


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