
@L’auteur
Vous dites :
"Ecartons, enfin, la critique affolée des idolâtres de la francophonie,
pour qui enseigner à l’Université dans tout autre langue que le français
revient toujours à réduire « l’influence de notre langue dans le monde »
(vieille antienne teintée de colonialisme)"
Allez dire ça à des québécois, ils seront sûrement d’accord avec vous...
Le français en 2050 c’est potentiellement 500 millions de personnes qui le pratiqueront (plus ou moins) avec une Afrique qui risque de se développer avec ou sans nous. Je vous rappelle que 2050 c’est dans 37 ans et qui croyait vraiment que le Chine serait où elle en est en 1976 ?
Non, la francophonie ne semble vraiment pas une priorité pour la majorité de nos politiques. Il n’ y a qu’à voire comme les sommets de la francophonie sont relativement peu médiatisés. Trop de nos politiques n’y croient pas et préfèrent se faire vassaliser par le monde anglo-saxon.
Pourtant il y beaucoup à faire avant qu’il ne soit trop tard...
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