Onecinikiou
8 juin 2013 12:51
« Sinon, quelque argument ou contre-argument ’ non foireux ’ ? »
- Déjà rappeler que le Front national n’a jamais gouverné, ni seul ni de concert avec une quelconque majorité « plurielle ».
- Qu’il fut inlassablement diabolisé, ostracisé, et du subir - encore à l’instant où j’écris ces lignes - des campagnes de propagande et de manipulation savamment orchestrées par des mass-médias serviles au service de leur mandants et propriétaires, c’est à dire encore de l’oligarchie bancaire et financière acquis aux préceptes de l’euro-mondialisme ; en plus de l’être idéologiquement et de façon permanente par les officines de subversion pro-sionistes en France, qui se parent fallacieusement des atours de l’antiracisme, et qui ont mis en coupe réglée la Ripoublik.
- Qu’il n’a pas voté - ou appelé à faire voter, lui ou ses futurs dirigeants - en faveur d’UN SEUL traité européen depuis celui de Rome en 1957.
- Qu’il ne peut nullement être rendu responsable, par conséquent, de la situation catastrophique à tout point de vue actuelle : socio-économique et culturelle, monétaire, financière, démocratique, identitaire, institutionnelle, sécuritaire, diplomatique etc...
Que sur TOUS CES POINTS SANS EXCEPTION, l’actuelle dirigeant, carpette et baudruche du Parti de gauche et figure tutélaire et au combien médiatique du Front éponyme, j’entends parler ici de l’imposteur Mélenchon, est pris systématiquement en défaut :
- Il fut pendant 31 longues années un membre actif et introduit du Parti socialiste mitterrandien, acteur du tournant de la rigueur - néolibéral et européiste - de 1983, et plus de 15 ans sénateur ce qui en faisait un cacique dudit parti. En plus d’avoir été ministre de Jospin de 2000 à 2002, gouvernement qui fut le plus privatiseur de toute la Vème République :
- Que loin d’avoir été diabolisé et ostracisé (pour preuve son cursus qui vient d’être rappelé), il fut un fer de lance de la manipulation et instrumentalisation de l’antiracisme idéologique et à multiple vitesse, profitant ainsi de toute la force d’impact et de saturation des médias dominants. Etant également un des rares politiques à aller jusqu’à demander expressément, en bon démocrate qu’il a toujours été, l’interdiction du Front national, parti politique légal et légaliste, démocratique, et sans doute beaucoup plus républicain dans la lettre et l’esprit que ne le sera jamais tous ceux - dont Mélenchon - qui ont contribué à nous déposséder de notre souveraineté nationale.
- Que Mélenchon, en tant que sénateur, a voté et pour l’Acte unique européen, et pour le Traité de Maastricht. Qu’en tant que ministre de Jospin il a inévitablement cautionné la politique euro-libérale, privatiseuse, dérégulatrice, de celui-ci.
- Qu’il est donc définitivement comptable, devant l’histoire, du désastre socio-économique actuelle. De part son immigrationnisme forcené et manipulation idéologique à tendance très communautariste (il fut un des invités du diner du CRIF, ce que n’a jamais été et ne sera jamais le clan Le Pen, parias de la Communauté organisée toute puissante) responsable aussi de l’entreprise de substitution de population génératrice de désordre gravissime à terme, d’insécurité galopante, d’effondrement du niveau scolaire, de contraction indubitable de la masse salariale, servant incroyablement les vues en cela des intérêts grand patronaux.
Que devant l’ensemble de ces FAITS, ses comptenteurs sont à poils et pathétiques.
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