pauvre presse décidément qui après avoir hurlé au crime fasciste dans l’affaire Méric est obligé d’annoncer la queue entre les jambes que la victime (Méric) avait attaqué son agresseur (déjà en train de se battre avec d’autres antifas) par derrière, donc que Méric était l’agresseur et avait succombé à la réplique de sa victime