abelard 30 juin 2013 11:05


Après tout la petite Laurence Parisot ne fait que combattre ce que déclarait l’ignoble Parisot Laurence.

« La vie, la santé, l’amour sont précaires, pourquoi le travail échapperait-il à cette loi ? »

Elle a d’abord essayé de faire modifier les statuts du MEDEF pour se faire réélire à la tête du syndicat. Qu’elle se recase aujourd’hui dans un comité Théodule n’a rien d’étonnant...

La précarité ne concerne bien sûr que les manants. Les belles gens, eux, sont génétiquement pérennes et indispensables à la nation.


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