
J’oubliais un point notable également : vous semblez penser que privé = multinationales à but lucratif. Je me permets de ne pas être d’accord. Les restos du cœur, c’est privé. On peut très bien penser, en tant qu’alternative aux bureaucratie kafkaïennes de l’Etat, à un réseau décentralisée de mutuelles associatives, gérés selon les principes du privé (si tu ne fait pas du bon travail en rendant un service irréprochable à autrui, tu perds ton job) et affranchi autant des délires politiciens que de la « politique » qui peut subvenir dans des entreprises privée devenue trop importantes.
Concernant la sécu, on peut désormais s’en échapper, et plein de gens le font tout simplement parce qu’au delà d’un certain revenu on peut avoir une meilleure couverture à prix égal dans le privé. Mais quant bien même on arriverait à améliorer tout ça, une réussite dans un océan d’échec ne suffit pas à valider un principe faux selon lequel un organisme géré par des politiques (c’est à dire partout et tout le temps les gens les plus incapables que l’on puisse imaginer) puisse arriver à quoi que ce soit.
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