Qui lit encore du Balzac en dehors de l’école ?
Chomsky ? Je ne peux en parler.
Il y a aussi ardu dans un auteur que j’aime bien comme Umberto Eco.
Mais le Pendule de Foucault, je l’ai digéré à coup d’aspirines.
Comme quoi, on peut écrire de la guimauve ou du plus plombé.
Le tout est qu’on en retienne quelque chose après, sans devoir le relire.