L’inversement des valeurs, le culte de l’éphémère, l’adoration
de soi, le cumul des richesses à des fins mercantiles etc… L’homme se suicide par
sa bêtise. Des tas d’experts autant prétentieux qu’inutiles viennent rabâcher dans
les médias leur litanie pro libérale ou seul compte la finance, les chiffres. Tout
est marchandise, le cœur un organe à greffer et l’âme une fiction inutile. Les
grandes civilisations ont fini étouffé sous leur égoïsme mais l’homme, par fainéantise,
ne retient rien de l’histoire, il se comporte comme un enfant gâté et immature.
Excellent analyse Monsieur Foscarvel mais, je doute que malgré la lecture qui en
sera faite, une majorité a la compréhension réduite ne s’arrête qu’à la surface
du propos (pauvre fille, pauvre humanité).