L’immigration n’a pas à être analysée en termes financiers (Coût, Bénéfices) mais en Valeurs (Chances et Risques) pour une nation.
Chez nous, à la libération, on a mis en place les Allocations Familiales pour relancer la natalité FRANCAISE.
On aurait donc dû les asseoir sur un prélévement d’Etat, par exemple, le plus juste, sur la richesse créée par les entreprises, mesurée à travers l’E.B.E (excédent brut d’exploitation).
Ca ne devait pas intéresser le Medef d’alors et ses firmes intensives.
On a, donc, choisi de les financer par une cotisation sur les salaires.
Résultats :
1 - Le travail français a coûté plus cher.
2 - On a été contraints par les instances internationales, qui s’érigent en juges des choix d’une Nation (C.E.J et autres) de verser, au nom de l’égalité (!) le bénéfice de ces allocs à TOUS les enfants de travailleurs immigrés, même temporaires.
Ainsi l’aide à la natalité Française, est’ elle devenue une gigantesque « pompe Afrique »
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