L'enfoiré L’enfoiré 20 juillet 2013 14:40

Cher Peretz1,


« un cas particulier un pensée unique »
Absolument pas. J’ai lu et relu cet article, parce qu’il était intéressant à plus d’un titre.
Je croyais qu’étant informaticien, vous auriez compris un peu mieux le numérique comme je vous l’ai expliqué à la suite d’un de vos articles. 
L’esprit d’entreprendre, se mettre à son compte, investir ne sont pas des décisions faciles à prendre. Il faut avoir le goût du risque. Je ne suis pas à 100% d’accord avec les idées de Sparta, mais ici, il n’y a pas photo. S’il y a une corrélation entre le bénéfice et l’emploi, elle se trouve, à la longue, quand il y a pénurie de main d’oeuvre pour un coup de feu et des commandes qui arrivent par hasard et que des événements extérieurs non prévisibles sont entrés dans la danse. Le cash flow est une donnée comptable qu’il faut tenir en réserve. Aucun sophisme, aucune sentiment dans les affaires comptable.
Entre une entreprise multinationale et un autre nationale, il y a un monde de différence.
Les bénéfices aux actionnaires, les bonus, ce sont une sorte de compensation comme prime de risque. La différence d’une action et avec une obligation, est que l’actionnaire prend une part de l’entreprise tandis que l’obligation n’est qu’une demande près avec échéance précise qui dépendra de la conjoncture des taux des intérêts qui auront été surévalués ou sous-évalués. Faire de l’auto-financement est encore un autre compte d’exploitation. Une entreprise qui n’y pense pas, est une entreprise qui est en sursis.
Savez-vous que dans les grandes entreprises, il y a justement un compte de prévisions de licenciement qui doit être prévu ?
Je vois qu’il n’y a pas que Sparta qui doit tremper sa plume dans le bon encrier avec arguments à la clé.
Là, vous avez perdu une chance que je lise votre bouquin. 
 

Ajouter une réaction

Pour réagir, identifiez-vous avec votre login / mot de passe