L’armée, enfin ses généraux, ont fait un coup d’état militaire et ont allumé le feu de la violence et de la guerre civile. Face aux manifestations d’oppositions à Morsi ils devaient jouer le jeu de la légalité et donc rester neutre sur le plan politique. En renversant Morsi ils ont provoqués l’embrasement général.
Un président élu de manière « démocratique » suivant les normes occidentales qui sont pour l’instant les moins pires, devait être destitué de la même manière, par le vote populaire.
Bref, la faute à ces généraux inconsolables de la perte de leur pouvoirs passés et qui se rêvent tous en succésseur de Moubarak.