jack mandon jack mandon 28 juillet 2013 11:31

Gaijin, bonjour,

Dans l’enseignement oriental, les paradoxes et contradictions
sont légions.
Un exemple évangélique qui déroute les esprits simples.

Dans Matthieu 10/16-20 et 26-31, Jésus, comme il en a coutume,
fait d’étranges associations entre le serpent et la colombe.
Deux animaux communs en Galilée. Animaux très différents,
dont la charge émotionnelle symbolique est profondément
ancrée dans l’inconscient collectif juif depuis le récit de la Genèse
de Moïse.

« avisés comme des serpents et candides comme des colombes »

Le serpent rusé, à la morsure mortelle, associé à la chute édénique,
en somme Satan personnifié, et la colombe, l’esprit de Dieu, symbole
de douceur, de pureté et de paix. Tout le contraire de la binarité qui
anéantira la beauté du message évangélique. Il deviendra pourvoyeur
de conflits, de guerre et de malentendus plus tard, jusqu’à nos jours
L’orient inscrivait la science et la philosophie. Les religions ont anéanti
cette espérance de paix.
La destruction et la confusion sont l’âme du monde moderne.
Les faits parlent d’eux mêmes, dans les grands mouvements brouillons
et contradictoires des révolutions éperdues.



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