Bonjour, Norbert.
Excellent compte rendu de cette pitoyable affaire, née de l’incurie d’une équipe municipale.
A l’arrivée, il n’y a effectivement que des perdants : le public, évidemment, abusé par la communication et la billetterie ; la Mairie, dont le fiasco a connu une répercution nationale ; Aznavour, qui s’est trouvé associé, malgré lui, à cette bérézina de la chanson.
Lamentable !