jack mandon jack mandon 4 septembre 2013 11:00

Gollum,

Je me souviens d’un livre d’esprit tantrique qui affirmait que l’espèce humaine était divisée en deux, ceux d’esprit « chimpanzé » partisans de la guerre et ceux d’esprit « bonobo » partisans de l’érotisme, considérant les femmes comme des déesses, et plus proches du matriarcat que du patriarcat.. Je ne sais si cette division est réelle, toujours est-il qu’on a la sensation que les « bonobos » sont minoritaires..

La vecteur sexuel chez les humains est constitué des pulsions h, hermaphrodite
et S, sadique,
le dosage de ces deux facteurs permet d’envisager toutes les possibilités
évoluant entre la composante féminine et la composante masculine.
Dans la guerre, pour faire court, le sexe est remplacé par une arme blanche,
jusqu’à l’arme la plus sophistiquée. Au fond dans cette analyse, on peut
se questionner sur l’équilibre du soldat et le sens profond de la guerre.
Le pathos est toujours en toile de fond.
Quant à ceux qui ont recours à cette extrémité, pour la même raison,
on reste dubitatif.
En final, en toute bonne logique ce que les résultats d’un conflit armé nous révèle
nous parle de la santé mentale des protagonistes engagés dans le combat.

En conclusion, la santé mentale des décideurs est à mettre en cause.
Raison suffisante pour qu’une mesure de cette nature ne soit pas prise
légèrement, mais avec toutes les instances démocratiques, tous les pouvoirs.


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