L’autre jour, Bayrou me demandait de passer chez lui dans son
appartement parisien afin, me suppliait il, que je lui donne « les
clés pour que je le sorte lui et le modem du merdier de cette
campagne 2012 » (sic), “en retour” me promettait il , “je te
dirai comment ne pas payer d’impôts sur les plus values de ventes de chevaux
et aussi comment échapper à l’ISF” (resic)
A l’heure dite, je sonne à
la porte de l’appartement.
Une vieille ridée dans un
peignoir en laine tout miteux ouvre la porte. La dame a les yeux
vitreux, elle a, de toute évidence, passé sa journée à écluser
de mauvais vins rouges.
Tiens, je me dis, il doit avoir une
vieille tante.
C’ était lui !!