Philouie, bonsoir,
La liberté dont il est question ici est celle évoquée par Mandon :
la
liberté face aux idoles et le fait que l’on accepte ou pas, que l’idole
dicte sa loi.
C’est le rôle de la religion de répondre à cette question.
Pas de liberté spirituelle dans un islam sectaire.
Nous sommes au coeur de l’idolâtrie et de l’ignominie.
Pas de discussion possible avec un enturbanné islamique
qui n’est pas libre mais habité par des intentions antédiluviennes.