Gollum Gollum 4 décembre 2013 10:36


si vous m’aviez bien lu, je vous ai expliqué que la culpabilisation et l’idéalisation, sont les deux faces d’une même pièce et ce qui les lie c’est la rédemption.

vous ne pouvez pas dire que cette idéalisation n’existe pas, puisqu’il est demandé à l’homme de devenir l’égal de cet homme idéal qu’on appelle Jésus et que vous même parlez de l’homme comme pouvant devenir un Dieu. Soyez cohérent.

Oui mais je ne suis pas d’accord smiley Ce qui est « idéalisé » c’est le Saint pas l’homme de la rue...
D’autre part cet idéal du Saint n’est pas propre au Christianisme puisqu’il existe dans le Bouddhisme et l’Hindouisme.

Et le comportement de ces gens là n’est pas du tout le même que dans le Christianisme historique et l’Islam historique. Vous persistez à ne pas vouloir voir que tous les maux de ces religions monothéistes de racine abrahamique viennent de ce que j’ai déjà dit. A chaque fois vous revenez à votre marotte obsessionnelle, qui pour moi est fausse...

Je répète donc : les deux clés sont :

1 - l’affirmation de la confession « vraie » hors de laquelle il n’y a pas de salut.
2 - le dualisme latent entre Bien et Mal, présent aussi bien dans le Christianisme que dans l’Islam, malgré son affirmation de l’Unicité divine, qui devrait lui faire voir le problème sous un autre jour. L’homme musulman de la rue a une peur bleue d’Iblis, comme le Chrétien a peur de Satan.

L’Asiatique, non. D’ailleurs il n’y a pas d’Enfer éternel en Asie et c’est une autre différence majeure.

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