A tous,
Pour être tout à fait responsable dans ces heures « divines » de fin d’années
Les théologiens, les exégètes et autres scientifiques de la
sémantique, ont oeuvré
pendant des siècles pour traduire des textes anciens, inspirés ou apocryphes.
Ils ont tranché sur le choix du texte.
Les langues anciennes sémitiques s’inscrivaient dans
une économie qui nous est relativement inconnue. Quelques exemples techniques de recherche en matière de
textes anciens.
Les sémitismes d’emprunt, n’importe qui peut les
citer, ils ne prouvent rien.
Les sémitismes d’imitation, l’influence de la septante, càd la
traduction de l’AT
a pu être aussi grande sur les juifs hellénisés que l’influence du texte hébreu
sur les juifs non-hellénisés. Les
imitations sont légion.
Les sémitismes de la pensée, un des caractères les mieux marqués
de
la langue du NT, consiste dans la répugnance, ou l’impuissance
à combiner, synthétiser, subordonner les divers éléments de la
pensée.
Un exemple parmi des dizaines essentiels. Les sémitismes de vocabulaire.
Ceux qui connaissent plusieurs langues savent que les coloration, ampleur,
intensité, des langues ne correspondent qu’imparfaitement.
Les sémitismes de syntaxe, de style, de composition, de transmission,
de traduction et multiples. Cela m’a toujours parlé avec force de l’histoire de
la tour de Babelle et de l’incommunicabilité entre les hommes.
Et philouie débarque et nous dit « Dieu nous parle »
Le grouillement grouillant des hommes qui transmettent le message nous
parle d’une réalité chaotique où l’inspiration ne peut pas être livresque.
Tout cela pour cette modeste introduction.
d’une faute, en hébreu, l’absence de voyelles et la ressemblance de
plusieurs consonnes...exemples incalculables.
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