A tous,
Le personnel soignant de plus haut niveau écarte l’irrationnel contrairement
à la
population générale. Ils sont en outre parfois peu informés sur la
manière
de prendre en compte cette dimension. Dans un même temps, les patients
en souffrance utilisent la religion
pour le meilleur ou pour le pire.
L’intervention du soignant doit être psychologiquement fine, non directive, neutre
et ouverte et surtout hors jugement. Un moment de quasi méditation non formelle.
Chez les amérindiens, le spirituel, chaman cohabite avec le soignant,
mais aussi avec l’enseignant et le guerrier intérieur.
Quel progrès sur nos concepts analytiques scindés, nos spécialités et nos compartimentations religieuses, scientifiques, philosophiques et artistiques.