Tout à fait Jean,
Il y a les Arts martiaux où on ne fuit pas, on ne domine pas, on n’
humilie pas, mais on absorbe la violence de l’ autre, puis le contrôle.
Toute la subtilité de cet art, qui contient justement la puissance martiale frontale et le savoir faire ondulant de la féminité. Un art à part entière, l’animation suprême du corps qui concilie la grâce d’essence féminine et la puissance destructrice domptée, idéalement d’essence masculine.