De plus, et ce n’est pas une métaphore,
il existe un gouffre abyssal entre l’orient, ses langues mortes, et l’occident et ses langues vivantes.
Je serais tenté d’établir un rapprochement entre un mort et un vivant de notre temps, comme souligné plus haut. Bien entendu c’est métaphorique car au fond la mort ne démérite pas, simplement elle intéresse moins de monde.
Plutôt souffrir que mourir nous dit Jean, l’autre, celui de le Nôtre.