bakerstreet bakerstreet 5 décembre 2013 16:53

D’une enquète à savoir si une femme est belle, on s’en foutra complètement quand on est amoureux !


 Si ce rapport fait tellement de bruit, malgré tous les défauts et les aberrations inhérentes à ce genre de travail, qui compare des situations qui n’ont rien à voir, c’est qu’il fait sens avec ce qu’on savait déjà.
En rejeter les termes et l’analyse ne sert donc à rien. 
L’essentiel est ailleurs. 
Oui, mais où ?

Et c’est bien ce qui fache, cette difficulté de ne pouvoir mettre à jour un déterminisme, qui serait comme un ensemble de fautes de grammaire ou d’orthographe dans un texte. Même l’orthographe se rebelle, dit qu’elle n’en a rien à foutre de vos règles ! 
Un doute parfois nous vient ! 
Que fait on là, encore, hagard, a tenté de faire la circulation. 
Que nous revienne le temps béni, d’hier, celui des conflits de générations, et des matchs de football policés. 
Mais cela a t’il vraiment existé, ? 
Toutes les époques ne furent elles pas des époques de l’entre deux guerres ?

Le vin de l’entre deux mers est plus agréable au palais !
Pour un peu on succomberait
Car, ouf, on a eu chaud, ce rapport ne s’attaque qu’à l’éducation nationale !
On continuera à se tapir derrière son siège, et à espérer qu’on ne sera pas le prochain installé sur le chevalet, près du tableau noir, à annoner nos incompétences et nos failles, stressés par le grand inquisiteur sans visage, qui nous trifouillera l’âme et les viscères !

 Car qu’en serait il pour le reste ? 
j’ai bien peur qu’il ne soit pas mieux. 
Ce foutu thermomètre nous mettrait tous au lit, dans n’importe quel secteur où vous vous trouvez. 

On ne sait pas où l’on va,
 tout cela n’a plus de sens, 
et c’est un peu l’ambiance nouveau roman,
alors qu’on était habitué hier à du solide, à du Hugo, aux contrastes et au décor bien planté.
Mais voilà que Cosette ne veut plus s’en laisser compter, et envoie des sms et des claques, que les Tenardier roulent en 4.4 et menacent de vous foutre un procés au cul !
Nous voici donc dans le smog londonien, à tenter de trouver notre direction, confondant les silhouettes, nous lançant dans une direction au flair, refusant de prende des risques en traversant la route. 

Y a quelque chose de pourri, et ce n’est pas seulement qu’au royaume du danemark...
.La purée de pois s’étend, s’étend partout. 
Jack the ripper rôde dans les rues. 

Il faudrait peut être qu’on éteindre ces foutus poèles à charbon, qui crachent leur purée mortifère, qui nous ruinent les poumons !

Mais ouf, presque cinq heures, l’heure du thé !

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