L’enfoiré
5 décembre 2013 17:57
Je reconnais déjà Bakerstreet rien qu’à lire son lyrisme, son décalage et sa mise en parallèle.
Voyons qui réussit le mieux aujourd’hui,en fonction de l’investissement que représentent les études, qui ne réussirait pas demain dans les mêmes conditions et tâchons d’en tirer des conclusions.
1ère réponse : les autodidactes, ceux qui n’ont pas réussi leur niveau de bac. Je ne vais pas citer de nom mais, vous en trouverez sans problèmes.
Pourquoi sont-ils arrivés à cette situation, parce qu’ils se sont adaptés à leur méconnaissance.
2ème réponse : S’ils veulent entrer dans une entreprise, s’ils n’ont pas de diplômes, de BAC +10, ils n’entreront pas. Les enfants ont été poussés à être plus haut que les parents. du coup, il y a une inflation des niveaux et une course incessante pour garder une chance. De plus, les parents sont là, les Tanguy deviennent plus nombreux « « Tu es tellement mignon, si tu veux tu pourras rester à la maison toute ta vie. » »
Alors ils accumulent et sortent des études bien plus tard que la normale.
Je crois que cette tendance devra se généraliser.
Au lieu d’avoir un quart ou un tiers de vie sur les bancs de l’école, c’est pendant toute la vie active que les études vont se prolonger.
Tout va plus vite, il faut des remises à niveau continuelles.
L’avantage, c’est que l’enfance et l’adolescence seront déjà loin et que la pratique remplacera la théorie..
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