Vipère Vipère 1er janvier 2014 18:54
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Que l’on me pardonne d’avoir posé un lapin au Président, télé-visuellement s’entend. J’ai esquivé le pire, le discours miteux de circonstance.
En même temps, il n’allait pas nous sortir des lapins de derrière sa cravate de traviole, le Président. Tout Président qu’il est !

Ou des colombes magiques et merveilleuses, de dessous ses manchettes qui dépassent du costume pour montrer à son tailleur que c’est le Président de tous les français qui a le bras long et qui décide de tout le tintouin.

Peu importe qu’au nom de la Paix, les colombes bleu-blanc-rouge se transforment en rafales, lâchant au quatre coins du monde, des missiles de feu et de sang. 
En Afghanistan, en Somalie, en Côte d’Ivoire, en Centre Afrique, au Kosovo, au Tchad. 

Il faut leur en mettre plein la tronche à tous ces vermisseaux pour leur montrer la Grandeur de la France.

Derrière, la grandeur de la France, la misère et la décadence galopante d’un pays qui cache ses nippes pour faire illusion, parmi les borgnes et des aveugles. 

Applaudissez braves gens, nos soldats contribuent activement à la stabilité de ces pays, avec votre argent, celui que vous ne gagnez pas, et ne gagnerez jamais de toute une vie de travail. 

On rince à crédit, et c’est pour votre pomme. Les intérêts pour les banquiers, nos valets rétribués grassement pour vous tenir sagement couchés, à nos pieds.

Vous voulez du boulot et puis quoi encore ?  

On vous a donné la liberté, l’égalité, la fraternité et Jaurès en prime.

 On a renvoyé Madame Claude à son tricot, fermé les maisons closes, bientôt les trottoirs seront interdits aux plaisirs illicites, pour faire place nette aux miséreux. La misère, c’est plus vertueux que le vice. 

On ne peut pas vous ressortir l’Abbé Pierre, Il a fait ses balises pour de bon. Pour autant, on ne va pas rouvrir les kolkhozes pour une poignée de miséreux, des vaincus du GRAND CAPITAL quand bien même, ils encombrent de leur personne, nos rues, nos villes, nos campagnes, de leur odieuse présence, semant l’insécurité et le trouble à l’ordre public qui donne tant de fil à retordre à Emmanuel WALLS, pourfendeur de quenelles.

La quenelle est en passe de devenir une affaire d’Etat, un dossier d’une extrême gravité. Sans langue de bois, les comploteurs à la quenelles n’ont qu’à bien se tenir. 

Evoquer par un geste ou un simple allusion l’existence de la quenelle peut vous valoir de gros ennuis. Mais parler en réunion de la quenelle est carrément une haute trahison envers l’Etat, si l’on en croit les récents communiqués. 

Les jours de Dieudonné M’bal M’bala et de sa quenelle sont comptés ?
















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