MUSAVULI MUSAVULI 7 janvier 2014 05:54

Morice, j’ai dit « Vladimir Poutine, qu’on l’aime ou qu’on ne l’aime pas ». Je savais, dès le départ, qu’il n’a pas la réputation d’être un « gentil enfant de choeur ». Mais sur la Syrie, j’ai quand même apprécié qu’un dirigeant rappelle la légalité internationale et le bon sens face au péril que représentaient les fameux « rebelles syriens ». 


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