Surya Surya 21 janvier 2014 15:16

Bonjour Bakerstreet

Il me semble que beaucoup de commentaires font une confusion dans le sens où l’on pense que le thème de mon article est de casser du psy, alors que ce n’est pas cela du tout même si dans la première partie je suis très critique. Ce que je critique surtout, c’est le manque de recul de beaucoup de psys qui ne voient pas que leur domaine fait partie des sciences et qu’à ce titre, il ne faut jamais s’asseoir sur ses connaissances, car la science est, comme je l’est dit, en perpétuelle évolution.

Toute la première partie n’est qu’une introduction pour amener progressivement au thème de mon article, et expliquer pourquoi je suis en désaccord avec les procédés employés pour les enfants. Le but de mon article est de dénoncer le fait qu’à l’heure actuelle on estime devoir tout dire aux enfants, même des choses qui ne sont pas de leur âge et qui risquent de les traumatiser. Sous prétexte qu’on peut toujours les emmener voir un psy après.

Sinon à part ça, je suis d’accord avec le contenu de votre commentaire. Je ne nie évidemment pas les progrès effectués dans le passé, mais cela dit si c’est pour tout gâcher avec des maladresses ou des « prises en charge » consistant à rassembler des gamins dans une classe pour leur parler du meurtre de leur petit camarade, ce n’est pas vraiment la peine.

Si vous voulez mon humble avis, je trouve que quoi qu’on dise, les gamins étaient beaucoup plus équilibrés dans les années 60 ou 70 que maintenant. Ne serait-ce que parce que les parents jouaient alors leur rôle de parents, et n’étaient pas démissionnaires comme maintenant.

C’est drôle comme aucun commentaire, jusqu’à présent, à part le vôtre, n’a parlé, n’a même évoqué, les enfants, comme s’ils n’étaient pas importants, alors que c’est justement d’eux dont il est question dans cet article, et non des psys.

Merci de votre commentaire  smiley


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