Morpheus Morpheus 4 février 2014 21:23

Ce n’est absolument pas un rapport de force qui est décrit, c’est très précisément le contraire !

Que vous considériez cela comme un rapport de force dénote votre conception très confuse de ce que sont les rapports de force et de ce que sont des rapports de collaboration.

Dans le cas présent, les parents et le cadre éducatif parlent à l’enfant en lui indiquant quelles sont les limites à ne pas franchir et en expliquant les motifs de ces limites ; ils expriment leur besoin que Tony respecte ces limites et concrétisent le cadre par des sanctions en s’appuyant sur un besoin reconnu (et exprimé) par l’enfant (le fait de rester à l’école et de ne pas être exclu) : on est bel et bien dans une écoute mutuelle d’un besoin (de l’enfant d’un côté, des parents et du cadre scolaire de l’autre) et il s’en suit un accord mutuel.

Un rapport de force impliquerait que les limites soient imposées sans bienveillance par la menace et l’intimidation, sans explication, et sans écouter quel est le bseoin de l’enfant : l’enfant serait censé se soumettre à l’aurité par la peur. Ici, Tony ne se soumet pas, il accepte, par contrat, le cadre de sanctions proportionnées et qui lui sont expliquées.


Ajouter une réaction

Pour réagir, identifiez-vous avec votre login / mot de passe