soi même 7 février 2014 14:06

@ Luc-Laurent Salvador, il serait temps de clarifier le débat ;
vous dites : Votre véhémence offre un défi intéressant.
Qu’est ce qui fait chez vous un féroce obstacle à une approche démocratique de l’éducation ?

Je vous répond, je n’es aucune véhémence à une approche démocratique de l’éducation.

Pour une raison évidente, l’enfant de pourrait jamais grandir si il est coupé de la communauté humaine.
Donc si je ne remet pas en causse se préalable, il n’est impossible de manifesté cette véhémence à une approche démocratique de l’éducation à part être incohérent avec moi même !

( « Car vous prenez l’enfant pour un adulte et en aucun, c’est un adulte. »

C’est à partir de cette certitude que vous croyez pouvoir affirmer qu’il est illusoire de vouloir amener l’enfant à :

"respecter des engagements librement consentis sous peine de sanctions elles aussi préalablement et librement consenties." )

Je n’affirme pas qu’il est illusoire d’amener l’enfant à respecter des règles, des principes et des obligations.
Ce que soulevé comme question n’est pas de faire tous sont possibles pour que certain faits ne se reproduise plus, c’est l’illusion de pensé en pleine formation d’apprentissage que l’enfant appréhende la Liberté de choisir ?

A cet ages l’enfant est dans les instincts et le ressentie, et dans se sens il est encore dans la phase où c’est le ressentie qui prédomine. Il est particulièrement sensible à l’état d’âme de l’adulte, à son tempérament, à ses défauts.

Il vie encore une conscience pour une grande part endormie, si il manifeste un jugement morale sur un acte, vous verrez que c’est le reflet de l’éducation et en aucun cas cela vient de son libre arbitre .
Il faut veiller à faire une grande différence entre ce qu’est un enfant et ce que l’adulte sollicite d’irraisonné en voulant sollicité trop tôt le pôle intellectuel .

En utilisant ce terne : ( engagements librement consentis ) qui est propos d’adulte qui ne peut que concerner un adulte et en aucun un enfant pour une raison simple.
Un enfant n’a pas encore la maturité à s’émancipe de l’autorité, il se soumet par l’éducation et se dérobe par défaut d’éducation, en aucun il exerce un libre arbitre de s’émancipe de l’autorité.

Ce m’est à l’âge de l’adolescence qu’il peut exerce un libre arbitre de s’émancipe de l’autorité et cela se produit par la rébellion !

Pour vivre un (engagements librement consentis ) il y a trois conditions à remplir ;

Engagement, un engagement est valable que si l’on comprend les ternes du contrat, je pense que cela a due être fait avec des ternes simple à la porté de l’enfant, néanmoins avez vous déjà rencontré qu’un élève s’engage à aller à l’école de son propre chef surtout à c’est age ? , moi je ne l’ai jamais vue,c’est avant tous l’exigence des adultes qui fait que l’enfant accepte d’aller à l’école.
Donc engagement n’est pas le bon terme, c’est obligation qui faudrait dire !

 Librement : être libre, qui n’est pas le cas de cet enfant qui est soumis à des exigences des adultes de respecter les régles de la bienséance, avec probablement la menace de son exclusion !

Donc librement n’est pas le bon terme, c’est contrainte qui faudrait dire !

Consentis, en quoi c’est consentie, en rien c’est consentie, vous lui demandez en réalité obéissance, qui à c’est âge est tout à propos

Donc consentis n’est pas le bon terme, c’est obéissance qui faudrait dire !

La phrase donc visiblement vous avec une certaine fierté devait plus tôt se formuler dans ces termes :

( obligation, contrainte, obéissance ) qui est plus conforme à l’age psychique de l’enfant au lieux d’utiliser des ternes qui correspond à l’exigence que l’on peut attendre d’un adolescent (engagements librement consentis ).

Pour vos autres objections, je ne veux pas m’attarder dessus, sauf sur un détail : (Sauf qu’une multitude de compétences qui sont celles de l’adulte sont aussi celles de l’enfant : respiration, digestion, langage, communication, intention, effort, réflexion, calcul, etc., l’enfant le fait très bien. ) la confusion des plans de se qui relève qui est propre à tous hommes, les fonctions instinctives corporelles ( respiration, digestion, langage, communication ) et celle que l’on acquérez par apprentissage ( 
intention, effort, réflexion, calcul, etc.) bien sûr qu’un enfant en a conscience, mais en réalité de quel conscience parle ton ici en comparaison avec l’Adulte ?

M’oublie pas l’étymologie de conscience :

Du latin conscientia composé du préfixe con- (« avec ») et scientia (« connaissance »).

  1. Subjectivité ; sentiment intime de vivre l’expérience vécue, d’en d’être sujet (de nos perceptions, émotions, pensées...).
    • Éveillé, l’être humain a conscience de son vécu.
  2. Image de soi-même ; conscience de soi.
  3. (En particulier) État de veille dans lequel l’on perçoit le déroulement de sa vie.
    • Quand j’ai repris conscience, je gisais parmi eux sur la cale, ils m’avaient allongé sur un paquet de voiles mal ferlées. (Bernard Thomas, La vie engloutie, page 64, Flammarion, 1989)
  4. (Par extension) Éthique, sentiment du bien et du mal.
    • Sapience n’entre point en âme malivole, et science sans conscience n’est que ruine de l’âme. (Rabelais, Pantagruel, 1530)

(Philosophie) Connaissance que nous avons de nous-mêmes par le sentiment intime

https://fr.wiktionary.org/wiki/conscience

Comment pouvez vous prêter un sentiment intime de connaissance à l’enfant , si il est en plein apprentissage et découverte et déploiement de ses capacités ? 

Cela ne peut être attendue de l’adulte mais en aucun cas de l’enfant qui vie de 3 à 12-14 dans une volonté instinctive.

Si un enfant a cet age semble pouvoir discerner le bien et le mal, c’est avant tous le fruit de la moralité contenue dans l’éducation qu’il a reçus, et ce n’est pas une appréhension consciente pour lui. Il se conforme à des indicateurs fournie par l’adulte, en aucun c’est de son propre chef qui se détermine.

Ce qui autorisé, et se qui est interdit où autrement dit le bien et le mal qui est une convention avant tous social, pour l’enfant c’est au début que des attractions, et l’on le remarque d’autant plus, que à c’est age, il ont la faculté de dire des gros mots s’en comprendre la signification, par contre il ressente très bien les effets quand l’adulte réagit à cela !

Donc en aucuns cas, je suis opposé à ce qu’une anomalie caractérielle soit recadré, c’est le rôle du pédagogue d’être éducatif, en rien je suis opposé à qu’il est un contrat de passé avec l’enfant, mais de là à pensé qu’il a compris les termes que vous exposez, c’est un pas que je ne franchie pas à moins que j’ai la volonté de transformer comme c’est la mode aujourd’hui , l’enfant raisonnant raisonnable.

Fait ce que je te dis mais pas ce que je fais !

Avec une telle maxime, il est évident que l’on va vers un échec sociétal de grande ampleur !

En avez vous con-science ?

Car en définitif un engagements librement consentis , cela s’adresse en premier chef à nous pas à l’enfant, es que je me suis bien fait comprendre ?


 

 


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