Onecinikiou 4 février 2014 15:16

« a prendre ou à laisser pour les prêteurs...et ils prendront.. ! »


Pour sûr qu’ils prendront, comme ils n’ont pas eu le choix de prendre une dépréciation équivalente à 70% de leurs créances lorsque l’Argentine fit défaut sur sa dette souveraine en 2003.

Bilan ? 8,5% de croissance en moyenne chaque année la décennie qui a suivi. 

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