Hubert Fauré Hubert Fauré 18 février 2014 19:02

Vous soulevez un point intéressant et, en lecteur de Céline, j’y souscris en partie.

Mais de mon expérience des gens, de la vie et du milieu où je vis, je continue de croire en la décence commune des gens ordinaires.
Nous sommes des individus complexes et tous capables du pire mais rien n’est déterminée, nous sommes perfectibles dans tous les sens, dans le meilleur comme le pire.
Je refuse ainsi tout désespoir en politique.
Sans doute pour vous une illusion au temps de l’Iphone et de l’instantanéité mais sans cela, toute lutte me paraîtrait bien inutile et vide de sens.


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