Antoine Diederick 19 février 2014 10:50

Merci de revenir sur ce sujet.

La crise actuelle devrait nous inciter , toutes convictions mélangées et différentes, à poser à nouveau les questions importantes. J’écris « toutes convictions mélangées » car la problématique de la surconsommation mondiale et de l’épuisement des ressources dépasse de loin les oppositions dues aux clivages politiques. De plus, la maximisation des profits financiers et la minimisation des désagréments — chers au modèle actuellement en cours — au détriment d’une approche nouvelle est réel.

Nous devrions tous être des « écologistes » si ce mot veut encore dire quelque chose....

Une gestion nouvelle, s’inscrit dans le « temps long » et de citer comme vous l’exemple des chênes de Colbert.

Mais il est vrai que l’Homme souffre de vacuité et il faut qu’il se remplisse avec gourmandise jusqu’à une satiété maladive, c’est presque orgiaque.

Je ne suis pas trop pessimiste pourtant.


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