La disparition de l’espèce humaine (disparition à laquelle l’Homme s’emploie très efficacement) ferait un bien fou aux autres espèces vivantes sur Terre : aux arbres que nous finirons par abattre jusqu’au dernier ; aux grands animaux que nous finirons par tuer jusqu’au dernier ; aux poissons et autres créatures de la mer que nous pêcherons jusqu’au dernier...
L’Homme est une peste pour le monde vivant.