Dans l’Affaire Dieudonné comme dans le canular angoissant de la théorie
du genre, le Pouvoir crée la situation de crise qu’il se propose de
réprimer violemment. Les choses ne font que s’aggraver : n’en doutons
pas, elles seront bientôt surréalistes de bout en bout, la raison ayant
été suffisamment déglinguée, surtout chez les jeunes générations
lobotomisées par l’École selon Peillon et ses prédecesseurs. Tout cela
est voulu, planifié et mis en œuvre. L’ingénierie sociale a maintenant
atteint sa vitesse de croisière anti-humaine... Les foules sont
mûres pour le projet de reconfiguration animale de l’espèce humaine,
dernière étape de ce vaste projet oligarchique - fasciste et satanique -
qu’on appelle la mondialisation, soit le mondialisme par l’argent-dette
et le nombrilisme de masse... La race des seigneurs bourgeois veut des
esclaves et un cheptel - du pognon et du sang.
L’alternative est simple : ça sera eux... ou nous.